Le 12 janvier 2010, en fin d’après-midi, la ville de Port-au-Prince et ses environs sont frappés par un séisme de magnitude 7,3 sur l’échelle de Richter. Après cette catastrophe naturelle sans précédent, Roberto Stephenson a parcouru la ville et ses ruines avec sa caméra photo. C’est au cours de ses périples qu’il a découvert de véritables camps improvisés par la population, qui fait face avec le peu de moyens dont elle dispose et qui cherche à rester digne malgré une accablante précarité.
Roberto Stephenson (Haïti)
Tents Camps, 2010