Lors de ma visite cet été à ma famille au Paraguay, j’ai décidé d’entreprendre un album de famille. Ma mère vient de ce petit village, Itacurubi del Rosario de 11.000 habitants, perdus dans la campagne Paraguayenne et dont les lieux semblent oubliés de Dieu. J’ai l’impression que le temps n’affecte d’ailleurs ni le village, ni les gens qui l’habitent. Ni même les rides sur le visage de mes oncles et mes tantes ne semblent s’y aventurer. Voici tout simplement donc, des portraits de famille, au soleil.
Anaïck Crozon
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