Depuis plus de trente ans la photographe plasticienne Sophie Ristelhueber élabore une œuvre de terrain, et ausculte notre monde de toutes les marques, signes et autres traces visuelles, comme autant de cicatrices et de plaies qui zèbrent sa surface. Adepte des expositions, installations ou vidéos, c’est un non-accrochage au titre éloquent qui nous est proposé cette fois, exercice radical qui méritait quelques éclaircissements. Rencontre donc. Jean-Jacques Ader : Parlons déjà…
![Galerie Poggi : Sophie Ristelhueber : What the fuck !](https://loeildelaphotographie.com/wp-content/uploads/2024/12/2-sophie-ristelhueber-700x500.jpg)