Mao disait que les morts ne pèsent pas le même poids, certains le poids d’une plume et d’autres celui d’une montagne. Le dictateur savait de quoi il parlait ayant rapidement perdu le sens des poids et des mesures. Il est certain qu’il ne restera rien dans notre souvenir des sept zombies que l’horreur qu’ils ont vomie au bout de leur fusil mitrailleur. Les désigner est déjà leur donner trop d’importance, on ne peut même plus sourire à penser que ces crétins en se faisant exploser pensent rejoindre je ne sais combien de jeunes filles vierges… Que faire de ces cancrelats, comme il était dit au sujet de la « vermine fasciste », il faut les écraser. La presse du monde entier a réagi, en mettant bien en évidence qu’au -delà de si nombreuses victimes c’était une certaine Idée de la Vie qui était la cible, autre chose qu’une misérable comptabilité de « vierges ». Les images parlent très fortement après ce sinistre soir, il ne faut pas hésiter à les regarder, ça fait mal. Quand la débilité se quantifie en cadavres, cela donne des forces à quitter les chemins des pensées simples.
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