L’idée débute avec une grande séquence de dessins linéaires en 1997. En 2017 je reviens à cette idée et au développement à travers une série photographique qui regroupe les mouvements de base du ballet (sauter, étirer, plier, élever, tourner, glisser, lancer ou précipitante) interprétée par des feuilles sèches et des morceaux d’arbustes et d’arbres trouvés sur le sol, et qui font appel à notre capacité de s’identifier avec eux. Chacune des pièces choisies contient l’expression du mouvement, et la forme des feuilles, la couleur et l’état «ils ont un costume» de caractère théâtral qui contribue à la plasticité narrative et à l’expressivité poétique de la même chose.